Interview et mixtape de Baptiste Lagrave - compositeur de la création musicale de M51 - sur France Inter.

Dimanche 21 janvier 2024, le Hangar Y accueillait à Meudon la pièce M51 dans le cadre de son exposition Prendre le Soleil pour un après-midi scientifique et artistique mêlant exposition, table-ronde rassemblant les deux chorégraphes Orianne Vilmer & Emmanuelle Simon et leur conseillère scientifique Nicole Vilmer, performances de M51 avec ses 54 interprètes baigné.e.s dans la création numérique de Damien Serban, puis DJ set de Baptiste Lagrave, compositeur de la musique de la pièce.

Concert-dansé le 17 février 2024 à 17h à Hantay (59) avec Léa HENNINO (alto), Fanny VICENS (accordéon), Orianne VILMER, Timothée BOULOY, Emmanuelle SIMON (chorégraphes interprètes) et Denis BARONNET (récitant).

La résidence d’essai du 8 janvier au 21 janvier 2024 au CENTQUATRE-PARIS est le point de départ de la deuxième étape de création de M51. A partir de la maquette de 20 minutes réalisée en 2023, l’équipe artistique professionnelle est rassemblée en studio pour démarrer une nouvelle recherche à partir des matières déjà explorées, et écrire progressivement la forme de 50 minutes.

Prochain RDV pour M51 au Hangar Y à Meudon dans le cadre de l’exposition “Prendre le soleil”.

Interview d’Orianne Vilmer & Emmanuelle Simon chorégraphes du projet.

Le Hangar Y invite chorégraphes, danseurs, compositeurs et chercheurs pour une après-midi dédiée à la danse, à la musique et aux sciences.

Le spectacle « M51 », du nom de la galaxie du Tourbillon, puise ses sources dans l’astrophysique et dans les démarches ludiques d’artistes comme du peintre Gérard Garouste et de l’écrivain Georges Perec.

Dans la nef du hangar, 54 danseurs-interprètes s’amassent progressivement jusqu’à l’explosion. Ce puzzle chorégraphique transporte le spectateur dans un monde, abstrait et coloré, inspiré du cosmos et dont l’apparence est définie par l’énergie des danseurs et leurs interactions.

Une conversation, pour comprendre le processus de création, vient ponctuer les deux représentations. L’après-midi se conclut par un DJ set planant pour s’approcher toujours plus près des étoiles.

La pièce "M51", du nom de la galaxie du Tourbillon dans le référentiel Messier, puise ses sources dans l'astrophysique et dans les démarches ludiques d'artistes comme Garouste ou Perec. Au plateau, 54 interprètes s’amassent progressivement, immergé.e.s dans une scénographie numérique construite à partir de nouvelles lois physiques aux paramètres chorégraphiques. Ce puzzle chorégraphique transporte le spectateur dans un monde abstrait et coloré, inspiré du cosmos.